dimanche 15 mars 2015

Les filons du métier de maquettiste


La conception de la base d’une maquette en partant de la mise en page des supports jusqu’à la personnalisation de manière à rendre la présentation attrayante et explicite pour les lecteurs reposent sur ce métier. Le rôle principale du maquettiste est de faire en sorte que le document en question, qu’il s’agisse d’un magazine, d’une plaquette publicitaire ou encore d’un site web entier, soit épuré et bien agencé. Il se charge de positionner les illustrations et les textes de manière structurée donnant ainsi une organisation claire. La mise en place d’une nouvelle maquette fait partie intégrale des étapes incontournables pour lancer un magazine ou rénover l’apparition d’un journal tout en lui donnant une vision neuve et jeune.

Les qualités requises pour devenir maquettiste professionnel

Comme toute autre profession, celle de maquettiste demande certains critères spécifiques. Hormis le respect de la charte graphique, il est nécessaire que le concerné ait un esprit créatif. Il doit également savoir mettre en œuvre et surtout concrétiser ses idées. Cela est utile surtout pour transformer une maquette existante ou tout simplement l’améliorer. Une autre qualité est la réactivité. Il est appelé à faire preuve de dynamisme d’esprit en toute circonstance sans oublier qu’il est supposé suivre les  nouvelles tendances et maitriser progressivement tous les domaines de création. Le plus important pour ce métier est la maîtrise des logiciels de PAO ou Publication Assistée par Ordinateur. Les savoirs de l’animateur 3D seront des atouts pour évoluer dans ce domaine.

Les débouchés pour ce métier prometteur


Nombreux sont les jeunes d’aujourd’hui lancés dans le domaine informatique. Il est bon à savoir que plusieurs portes s’ouvrent aux maquettistes sur le plan professionnel et évolution de carrière. A titre d’exemple, on mentionnera les agences de communication et celles spécialisées dans la mise au point de journaux d’entreprise. Outres ces succursales, il existe aussi la presse traditionnelle ainsi que les maisons d’édition qui n’attendent que l’ingéniosité des jeunes maquettistes pour s’élancer. Cependant, cet art aux multiples facettes connait des failles. En effet, le salaire perçu par la majorité des maquettistes actuels ne correspond pas aux efforts fournis durant le travail. Il dépend en grande partie de l’employeur ce qui est bien dommage pour ceux malchanceux. On constate une dénivellation considérable entre le revenu d’un maquettiste indépendant et celui déjà au titre de salarié régulier. Le premier s’en sort plutôt mieux qu’un professionnel qui rend service à une firme quelconque.

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